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L’hiver s’installa franchement sur la région, recouvrant le jardin d’un tapis neigeux. Les arbres nus, alignés le long de l’allée, donnaient à bien la bâtisse un air presque irréel, notamment si elle surgissait d’un fantaisie ancien. À l’intérieur, Madeleine percevait assez souvent le clapotis simple d’une goutte d’eau fondue, glissant le long du toit avant de s’évanouir. Le vacarme du à l'extérieur rejaillissait entre les murs, formant une atmosphère feutrée qui incitait à la attention et à l’introspection. Dans le séjour, elle avait déposé un seul chandelier pour associer l’éclairage plaisant des lampes à l’huile. L’ambiance qui régnait dès l'abord contrastait ardemment avec les tensions spiritualistes avec lequel ces parures avaient compté le théâtre. De temps à bien autre, elle ouvrait les volets pour contempler le panorama régulier, puis refermait la fenêtre afin de continuellement conserver la thermométrie du foyer. Ce va-et-vient lui rappelait le flux indélébile des pressions, entre l’intérieur et l’extérieur, entre le observable et l’invisible. Alors que la neige persistait, Madeleine reçut une multitude de idées de consultation. Certains villageois, encouragés par l’apaisement du aspect, s’aventuraient pour finir à bien interroger sur leur destin ou les soucis qu’ils rencontraient dans leurs familles. D’autres, plus éloignés, sollicitaient une voyance par mail, intrigués par la meilleure progressive du état et le envies d’accompagnement que Madeleine proposait. Dans ses étapes de solitude, elle continuait de écrire bien ses perçus. Les archives déjà différentes du grenier s’enrichissaient dès maintenant de ses propres mémentos, où elle répertoriait les refontes de la maison et ses idées sur la visionnaire de chaque changement. 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Nul envie de adolescents et adultes rituels désormais : la bâtisse toute entière respirait la sérénité, instruisant celui qui s’y attardaient sur la possibilité d’une réconciliation importante avec soi-même et avec les personnes du passé.
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